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Du 22 au 26 mars, c’était la semaine de la presse, les élèves du club journal se sont mobilisés pour vous offrir la nouvelle édition du Petit Berger !

EDITO

       Avec le printemps, un souffle créateur a balayé le collège, un zéphyr venu d’Outre Manche ! Découvrez les poèmes des 3èmes au fil des pages de ce journal et des prochains numéros. Les thèmes sont variés, l’inspirations originale; ils nous donneraient presque envie de danser aux sons d’une mélodie irlandaise...

 

Spring!

 

Today comes the new spring

Now the sun shows us his face

The light reveals a new thing

Birds beginnig a new race

 

Flowers are ready to go out

The grass is soft under our feet

We are going to hear the shout

Of the new nature which I am going to meet

 

To show the world we are happy

We are going to laugh

We can see the nature is tidy

That read on our mouth

 

So we are not going to be boring

Today comes the new spring!

 

Jade Labeste

 

 

La bête du Gévaudan a-t-elle existé ?

 

Il règne, entre 1764 et 1767, dans le Gévaudan (qui se situe entre la Lozère, l’Ardèche, la Haute-loire et le Cantal ) une misère profonde. C’est là qu’ont lieu pendant trois ans des meurtres atroces. Ces meurtres sont attribués à un animal mystérieux qui est rapidement baptisé : la bête du Gévaudan

La première attaque a lieu au printemps 1764 ; une femme est attaquée près de Langogne mais ses bœufs mettent en fuite l’animal. Peu de temps après le cadavre d’une adolescente de 14 ans est retrouvé. C’est la première victime officielle de la bête. Les attaques sanglantes se succèdent. L’animal se déplace beaucoup : il attaque du Gévaudan jusqu’en Auvergne.

Une véritable psychose s’empare des habitants et des battues sont menées mais sans succès. Les journaux de l’époque relatent ces attaques. Le roi finit par envoyer un régiment de soldats, des dragons, sur les lieux. Mais c’est comme si l’animal sentait le danger : il se déplace dans l’Aubrac et la Margeride, toujours dans le Massif Central, et laisse derrière lui des cadavres décapités et déchiquetés.

Les soldats n’obtenant aucun résultat, le roi envoie François Antoine, lieutenant de ses chasses, réputé comme meilleur fusil du royaume. Après trois mois de traque, François Antoine, tue en septembre un gros loup dont le corps est empaillé et envoyé à la cour.

On sait aujourd’hui que François Antoine a menti, il fallait qu’il ait rapidement des résultats et il a juste tué un gros loup.  En fait, les meurtres reprennent rapidement, et c’est un autre personnage important, Jean Chastel, qui tue un nouvel animal le 9 juin 1767, date à laquelle les meurtres s’arrêtent.

La bête ressemblait à un gros loup qui se nourrissait de chair humaine, mais tout le monde  sait que le loup n’attaque pas l’homme alors il faut imaginer une bête ressemblant à un loup et à un très gros chien mais la question est : pourquoi attaquait-il l’homme ?

On ne sait pas vraiment mais on peut être sûr car les meurtres se sont arrêtés quand Jean Chastel a tué la bête donc c’était certainement elle et pas un simple loup plus gros que l’autre.

Il reste encore plein de choses à découvrir sur la bête mais le saurons-nous un jour ?

 

Pierre Lavenir       

 

Sources : Terra Nova                            

                            Http://www.dinosoria.com 

 

 

 

Later I would like to be...

 

Later I would like to be a spaceman

Iwould be singing with stars

This moment seems so far

And I'm just a young man.

 

Later I would like to be a singer

People dancing in rythm with my voice

That's a great choice

And I'll be richer and better

 

If I can do these professions

All stars would be dancing in space

All planets singing around the sun and earth who entrelace

I believe and I already feel this sensation.

 

Later I would like to be a pilot in a plane

I can see clouds in pain

And I sing with them a song of the sky

I try to give them joy, I don't lie...

 

Later I would like to be a novelist

I would write the life of great persons

And If I am an optimist

Later I'll write the life of well-known artists

 

With these great professions

I can write my life and draw my road

Yesterday I dreamt my head in the clouds

And I made this poem for you on my cupboard.

 

Thierry Deschateaux

 

 

Changement de programme à l’UNSS !

 

A l’occasion du changement d’activités à l’UNSS, nous avons interrogé des participants au sujet des disciplines qu’ils pratiquent. Ils ont commencé l’athlétisme, et en particulier : le 50 mètres, le lancer de poids et de javelot. Ils débutent également le saut de haie, le 1 000 mètres et le 100 mètres. Ils s’entraînent le mercredi après, midi à la sortie de l’ école. Quand ils sont en compétitions à Dijon et dans les alentours, ils rencontrent d’autres élèves qui souvent jouent en club. 

En handball, l’équipe a évolué depuis le début de l’année, à tel point que les joueurs ont pu accéder au trophées des A.S et sont arrivés troisièmes sur cinq équipes.                                                     Léo Couturier

                                               Hugo Bos  

 

 

Laurentine et la danse

 

Laurentine pratique beaucoup de sports et plus particulièrement la danse classique, depuis l’âge de quatre ans, ce qu’il la différencie des autres puisque c’est un sport peu pratiqué.

Laurentine nous explique sa vie dans le monde de la danse classique : elle pratique ce sport deux fois par semaine : un cours de 1h30et un autre de 1h15.

Un cours commence toujours par 30 minutes d’échauffement à la barre, notamment des pointes, elle refait cinq minutes d’échauffement puis travaille au milieu, c'est-à-dire sans barre. Le cours d’ 1h15 est plutôt contemporain avec des musiques plus modernes  mais les pas sont toujours aussi classiques. Le principe de l’échauffement reste le même.

Chaque année l’école fait un spectacle en juin-juillet : une année au Grand Théâtre à Dijon et une année dans le gymnase de Talant. Le spectacle au théâtre a toujours un sujet différent comme DANSEURS ET TOILES,titre du spectacle de l’an dernier. Le spectacle au gymnase consiste plutôt à montrer les exercices de toute l’année. Le dernier spectacle au théâtre datant de juillet 2009 a eu une fois de plus un grand succès ! En une après-midi toutes les places étaient réservées.

Laurentine nous explique le déroulement entier d’un week-end de spectacle. « La première représentation a lieu tôt le samedi soir ; toutes les danseuses et danseurs doivent être au théâtre pour 18h30 puisqu’il faut se coiffer avec un chignon banane, se faire un maquillage de scène, s’échauffer, répéter la chorégraphie, mettre les costumes et il faut toujours prévoir quelques imprévus avec les chaussons ou les costumes. »                Lucie Lebault

 

 

 

Un homme hyperactif !

 

Smaïl est une personne incontournable dans le collège, sa bonne humeur est toujours communicative pour commencer une journée !  Mais que fait-il exactement sur le territoire dont il est le roi ? Nous l’avons interviewé.

 

« En quoi consiste votre métier ?

-On ne peut pas vraiment parler de métier mais d’une fonction qui consiste à l’entretien et à la maintenance du collège.

- Quelle est votre principale activité en ce moment (début mars) ?

-Je commence l’entretien des espaces verts (tonte, taille des rosiers,...).

- Y a-t-il des moments ou il n’y a rien à faire ?

-Non, jamais : j’ai toujours des demandes d’élèves et de professeurs.

-Avez-vous un emploi du temps fixe ?

-Oui, tous les jours d’école je commence à 7h15 et je finis à 17h15.

-Quels sont les outils que vous utilisez ?

-Les outils sont par exemple des bêches, la tondeuse souffleuse, le sécateur… Et l’échelle pour tailler les arbres !

-Que faisiez vous avant ?

-Avant ce métier j’étais accompagnateur de groupe de tourisme et de projet pédagogique.

-Qu’est ce qui vous plait dans votre métier ?

-C’est la diversité des tâches et le relationnel avec les élèves et les professeurs. En plus, il n’y a pas de routine comme dans les grand collèges.

-Quel est votre but ?

-Mon principal objectif est que le collège soit propre et que tout fonctionne bien.             Léo Couturier                                            

 Hugo  Bos

 

 

La rubrique de Julie

 

Les loups sont-ils nos amis ?

 

Le nom scientifique du loup est « canis lupus nubilus ».

Le loup est un animal de l’hémisphère nord, Europe, Amérique du nord, Asie, proche et Moyen-Orient. En France, ils vivent dans les Alpes. Ce sont des animaux carnivores mesurant environ 1m à 1m50 et pesant 27 à 54kg. Leur durée de vie est de 12 ans en liberté et 18 ans en captivité.

Une meute de loups se compose d’environ 5 à 10 loups. Les femelles ont des petits une fois par an entre mars et début juin, la gestation dure 2 mois. Une gestation, c’est lorsque les petits louveteaux sont dans le ventre de la mère et qu’ils évoluent pendant 2 mois seulement. Une louve peut donner naissance de 4 à 7 louveteaux.

En France il y a plus de 100 loups braconnés depuis 2000 !!!

En moyenne plus de 10 loups par an ont été braconnés en sachant qu’il y a 20 à 30 % de naissances par an.

L’effectif de la population actuelle devrait être compris entre 250 et 500 individus alors que l’effectif estimé est de l’ordre de 150 individus.

Le loup est braconné car les bergers ne supportent plus que les loups viennent manger leurs moutons.

 

Julie Maire

 

Cinéma

 

Avatar

 

Avatar est sorti depuis quelques mois déjà mais on peut toujours le voir en salle tant l’expérience est unique...

Avatar est un film de science-fiction qui a eu beaucoup de succès. On peut le voir en version normale ou en 3D.

Ce film parle d’un ancien marine handicapé, Jake, qui va en mission sur Pandora, une planète où l’air n’est pas respirable par l’homme, pour parler à des indigènes à la peau bleue. Les hommes veulent faire la guerre aux indigènes mais Jake va tout faire pour les en empêcher…

J’ai vu Avatar en 3D : à l’entrée on nous distribue des lunettes en plastique. On dirait que les objets et les animaux arrivent sur nous. C’est l’un des premiers films en 3D.

Pierre Lavenir

 

 

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